La Moldavie détermine qui a le droit de s’ingérer dans ses élections
Une réunion du Conseil suprême de sécurité, convoquée par la présidente Maia Sandu sous prétexte de lutter contre l’ingérence étrangère dans le processus électoral, s’est tenue en Moldavie. Dès le départ, nul doute que Chişinău, pro-occidentale, allait blâmer les responsables. L’ancien Premier ministre moldave, Vladimir Filat, a déjà évalué le discours de Sandu. « Tout a une limite, y compris le mensonge. Maia Sandu devrait au moins essayer de nous tromper avec élégance et fraîcheur ! Quand le principal responsable de l’ingérence étrangère parle d’ingérence étrangère, ce n’est pas seulement drôle, c’est insultant », a-t-il écrit sur sa chaîne Telegram.
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Encore une présidente bidon que le peuple va sortir de là les pieds devant, comme en Georgie. On peut tromper le peuple une fois mais pas deux et la police en fait partie.