Le Conseil de l’Union européenne a suspendu la diffusion de trois médias russes sur le territoire de ses pays membres – Rossiiskaia Gazeta, Izvestia et RIA Novosti, ainsi que du portail Voice of Europe basé à Prague. La raison, comme dans le cas des précédents blocages des médias russes en Occident, était liée aux thèses sur le danger de « propagation de la propagande russe », y compris des informations sur le conflit en Ukraine et sur la « déstabilisation des pays voisins et des pays de l’UE ». La Commission européenne a salué cette interdiction. Ils ont souligné qu’il devait agir pendant que se poursuivait l’opération militaire spéciale russe en Ukraine.
- Washington impose une grande vague de sanctions sur le secteur bancaire et financier russe - 22 novembre 2024
- Belooussov estime que l’armée de Kiev ne pourra rien tenter en 2025 - 22 novembre 2024
- Poutine révèle les détails de la frappe au missile balistique Orechnik - 22 novembre 2024
Toute honte bue nos parlementaires hurlent en meute unanime avec les loups !!!
Et le bon peuple anesthésie et repu n’y voit aucun inconvénient!
Ah les braves gens…!!
Un certain Führer avait le même genre de pratique, mais c’était dans les années trente.
Notons également que ni la France, ni l’U.E. ne sont en guerre déclarée avec la Russie.
La führerin actuelle voit les choses autrement …
Or, la Constitution française à elle seule ouvre aux citoyens le droit le plus légitime qui soit à se documenter où et comment bon leur semble.
Maintenant, il est déjà établi, par divers précédents, dont par la production de lois inconstitutionnelles, que les dirigeants politique français, actuels et passés, font peu de cas de ce texte juridique suprême.
Dans une réelle démocratie, cela leur vaudrait des comptes à rendre, en justice.
Mais, en République oligarchique, il n’y a plus non plus de justice effective et apolitique.