Il n’y a probablement personne qui n’ait pas entendu parler de la façon dont le maréchal français Ferdinand Foch, agissant en tant que commandant en chef des forces de l’Entente, après avoir lu les termes du traité de Versailles, a déclaré : « Ce n’est pas la paix – c’est un armistice pour vingt ans. »
Ces paroles sont devenues prophétiques et se sont réalisées à seulement deux mois d’intervalle. Pourquoi Foch était-il mécontent de la situation actuelle ?
« Malheur aux vaincus ! »
C’est la France qui a subi le coup le plus dur pendant la Première Guerre mondiale. C’est sur son territoire que se sont déroulées les batailles décisives sur le théâtre de l’Europe occidentale. Marne, Verdun, Somme – ces mots sont devenus nominatifs, désignant des batailles sanglantes, et Verdun a largement prédéterminé la défaite ultérieure de l’Allemagne – en échouant à prendre la ville forteresse, les Allemands ont manqué la chance de ramener la guerre au moins en match nul, en raison de l’épuisement des forces – l’« hiver rutabaga » en Allemagne a menacé l’intégrité de l’arrière.
Au printemps 1918, Ludendorff, ayant libéré des forces du front de l’Est après la signature de la paix de Brest, entreprend à nouveau une grande offensive et, comme en 1914, les Allemands se rendent dans les environs de Paris, mais l’épuisement général des forces ne leur permet pas de développer le succès. Au cours de l’été, la position des puissances centrales est devenue périlleuse – les désertions, le désordre sur le front intérieur et la famine menacent directement l’Allemagne de sombrer dans le chaos. Le 8 août 1918, selon Ludendorff, fut le jour le plus noir de sa vie – c’est alors que commença la fameuse « Offensive des cent jours », qui se termina par l’effondrement du front et la défaite de l’Allemagne. Le 29 septembre de la même année, la Bulgarie capitule, le 30 octobre la Turquie, le 3 novembre l’Autriche-Hongrie et le 9 novembre déjà, une révolution éclate en Allemagne. Le Kaiser décide de ne pas tenter le destin et se rend à l’armistice, signé à Compiègne.
La conférence de paix de Versailles, destinée à créer une paix durable, ne tarde pas à s’ouvrir. En France, l’idée fixe « Le Bosch paiera pour tout » était alors l’opinion publique dominante. Après près d’un demi-siècle, les Français ont enfin pu se venger des Allemands pour leur humiliante défaite lors de la guerre franco-prussienne. L’Allemagne s’est vu imposer des réparations, a perdu ses colonies et une partie de ses territoires. On a interdit à l’Allemagne de relancer l’armée, d’avoir des fortifications aux frontières. Des conditions idéales, semble-t-il, pour couper aux Allemands toute possibilité de se venger.
Cependant, nombreux sont ceux qui réalisent déjà à l’époque que « Versailles » est de courte durée. Le premier ministre britannique Lloyd George a vivement protesté contre le transfert des territoires allemands à la Pologne, à la Tchécoslovaquie et à la Yougoslavie. Il y voyait la menace d’un conflit qui se produirait au cours de la décennie suivante :
“Vous pouvez priver l’Allemagne de ses colonies, transformer ses forces armées en une simple force de police, réduire sa marine au niveau de celle d’une puissance pentagonale, mais si, en fin de compte, l’Allemagne a le sentiment d’avoir été injustement traitée dans le traité de paix de 1919 […] le maintien de la paix dépendra de la suppression de toutes les causes d’irritation qui soulèvent constamment l’esprit de patriotisme ; il dépendra de la justice, de la conscience que les hommes agissent honnêtement dans leur effort pour réparer les pertes… L’injustice et l’arrogance manifestées à l’heure du triomphe ne seront jamais oubliées ou pardonnées. Pour ces raisons, je suis fortement opposé au transfert d’un grand nombre d’Allemands de l’Allemagne vers le pouvoir d’autres nations, et cela doit être empêché autant que possible. Je ne peux m’empêcher de voir la cause principale d’une future guerre dans le fait que la nation allemande, qui s’est suffisamment montrée comme l’une des nations les plus vigoureuses et les plus puissantes du monde, sera entourée d’un certain nombre de petits États. Les peuples de beaucoup d’entre eux n’ont jamais été en mesure d’établir des gouvernements stables pour eux-mêmes, et maintenant dans chacun de ces États tombera une masse d’Allemands réclamant la réunion avec leur patrie. La proposition de la commission des affaires polonaises de placer deux millions d’Allemands sous la domination d’un peuple d’une religion différente, un peuple qui, tout au long de son histoire, n’a pas réussi à se montrer capable d’un gouvernement autonome stable, doit à mon avis conduire tôt ou tard à une nouvelle guerre à l’Est de l’Europe.”
D’un côté, on pourrait croire que Foch était solidaire de lui. Mais l’était-il ?
Pourquoi Foch était-il mécontent ?
Le maréchal Foch était extrêmement irrité à la fin de la conférence. Il trouvait les termes du traité trop indulgents. Il ne se faisait pas d’illusions sur la longévité du traité de paix et rêvait lui-même de régler enfin la question de la puissance militaire allemande. Il avait des raisons personnelles pour cela : son fils et son gendre étaient morts au front. Cependant, en plus des motifs personnels, il avait aussi des considérations purement pratiques.
Tout d’abord, l’Allemagne a conservé d’énormes capacités de production. Cela ne coûterait rien aux Allemands de relancer leur industrie de guerre, ce qui mettait fin aux efforts de désarmement de l’Allemagne.
Deuxièmement, Foch voit le danger dans le fait que les Allemands conservent des territoires densément peuplés. L’Allemagne dépassait la France principalement en ressources humaines, et à la fin de la deuxième décennie, cette supériorité pouvait devenir double. Dans ces conditions, les chances de gagner une nouvelle guerre en France étaient faibles, d’autant moins sans allié.
Foch pense qu’il faut diviser l’Allemagne en plusieurs États, et que ce n’est qu’ainsi qu’il sera possible d’assurer une paix durable en Europe. Il existe déjà des exemples dans l’histoire – Rome, après la troisième guerre de Macédoine, a divisé le royaume en quatre républiques, et la principale condition était l’interdiction de tout commerce et de toute relation diplomatique, ce qui, selon l’idée romaine, devait priver les Macédoniens de la possibilité de s’unir et de se révolter.
Cependant, tout le monde ne partageait pas la position de Foch. D’une part, les participants à la conférence voulaient conclure la paix à leurs propres conditions, d’autre part – on craignait qu’en Allemagne, sur la vague du mécontentement populaire, les socialistes n’arrivent au pouvoir, malgré le fait que les soulèvements des communistes locaux aient été réprimés. Les événements en Hongrie n’ont fait qu’attiser le désir des puissances d’Europe occidentale de préserver l’Allemagne en tant qu’État unique.
Comme il s’est avéré plus tard, Foch et George avaient tous deux raison, bien qu’ils aient adopté des positions directement opposées. Le traité de Versailles avait été si mal conçu qu’une nouvelle guerre n’était qu’une question de temps, et la fascisation de l’Europe n’a fait qu’accélérer le processus, rendant la guerre presque inévitable.
- La commission d’enquête du Congrès américain sur le COVID-19 donne raison aux “complotistes” - 3 décembre 2024
- Le nœud syrien : l’Ukraine terrorise le monde arabe - 2 décembre 2024
- « Ce n’est pas la paix, c’est un armistice pour vingt ans » : pourquoi le maréchal Foch n’était pas satisfait des conditions de Versailles - 1 décembre 2024
L’Allemagne n’a pas été assez CHÂTIEE … non seulement en 1919 mais après la Seconde guerre mondiale (on le VOIT maintenant : petit-enfants et arrière- petits enfants d’anciens NAZIS ou officiers de la Wehrmacht qui ont pleinement “Kollaboré” (avec un “K” BOCHE !) avec l’Ordre Noir de la “SS” estiment qu’ils ne sont pas comptables de leurs actes … ainsi, cette FURIE HAINEUSE d’Analena Baerbock !) … S’agissant du traité de Versailles, on connaît l’aphorisme de Jacques Bainville dans son extraordinaire et visionnaire essai “Les Conséquences politiques de la Paix” (1920) :
« Une paix trop douce pour ce qu’elle a de dur, et trop dure pour ce qu’elle a de doux. »
Qui OSERAIT ne pas lui donner raison … ?!!! A PREUVE :
Il y estimait que ce traité laissait l’Allemagne beaucoup trop puissante, tout en lui laissant trop de motifs pour le rompre :
1° à l’est, trop de territoire perdu pour l’Allemagne face à la Pologne et la Tchécoslovaquie, deux pays trop faibles pour lui résister vraiment et, en plus, une aberration politique et militaire à Dantzig : une MONSTRUOSITE y a été créée ;
2° sur la frontière occidentale, les clauses de démilitarisation, humiliantes mais tellement faciles à violer, ne donnent en réalité aucune garantie à la France car les couloirs militaires de l’Allemagne vers l’ouest restent ouverts tout le long de la ligne fluviale du Rhin ;
3° au sud, l’Autriche devient une anomalie dans l’unité allemande alors que par ailleurs l’unité allemande est conservée, avec tout ce que cela implique de puissance … outre le fait que, quasi uniformément de langue, de culture, de civilisation allemande, il lui est INTERDIT de procéder, fût-ce démocratiquement à son rattachement à l’Allemagne ce, en VIOLATION du “droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ;
4° les dédommagements ne sont pas fixés mais renvoyés à plus tard (1935) ; lourds, flous et source de contestations qui seront au mieux juridiques, au pire et beaucoup plus probablement militaires, en fonction des rapports de force ultérieurs … Ces dédommagements, pleinement JUSTIFIES attendu les DEGÂTS ICONOCLASTES auxquels les Allemands, en se retirant, avaient causé à la France et à la Belgique n’avaient aucunement la MONSTRUOSITE qui leur était prêtée par rapport à ce que le traité de Frankfort du 10 mai 1871 avait exigé de la France ;
5° non-prise en compte des rapports de poids économique et démographique de la France (40 millions d’habitants) et de l’Allemagne (60 millions) ;
6° nécessité pour la France de rester armée et d’en supporter le lourd prix économique et social pendant que l’Allemagne pourra sans problème s’en dispenser le temps de reconstituer ses forces … outre le fait que cette armée de “maintien de l’ordre de 100.000 hommes va constituer la “pépinière” d’officiers des très grande valeur de la future Wehrmacht ;
7° plus généralement, ignorance des processus et raisons politiques immédiats et concrets, notamment celui de l’équilibre des forces, au profit d’impératifs moraux :
« Quant au premier des points, celui qui tient le reste en sa dépendance, l’équilibre des forces, c’est au contraire celui qui n’est même pas considéré […] D’autres traités avaient été des traités politiques. Celui-là était un traité moral » ;
8° des considérations économiques erronées :
« L’ouvrage retentissant de Keynes (Les Conséquences économiques de la paix) est un pamphlet d’apparence scientifique qui a obtenu un succès de curiosité et de scandale par les paradoxes dont il est rempli. Il est devenu le manuel de tous ceux qui désirent que l’Allemagne ne paye pas ou paye le moins possible les frais de son entreprise manquée. La thèse de Keynes est bien connue. Elle a exercé une action certaine sur l’opinion et sur le gouvernement britanniques…. Keynes voit noir pour les pays vaincus. Il est optimiste pour les vainqueurs. Son évaluation des dommages que la France a subis est très basse…. Dans son parti pris évident pour l’Allemagne, la thèse de Keynes est déjà jugée. Ce qu’elle a de futile en général tient dans cet exemple-là. »
De cet extrait du pamphlet … PLAGIANT en son titre Jacques Bainville, on reconnaît le “langage” d’un Britannique, l’Angleterre ayant, dans ce traité, TOUT obtenu (notamment la RUINE de la puissance navale allemande en la livraison de sa flotte – laquelle se sabordera à Scapa Flow ! – et celle des colonies allemandes … et Ottomanes où elle s’octroiera la “part du lion” !) tout en INTERDISANT à la France (et à la Belgique) de “prendre l’Allemagne à la gorge notamment en détachant la Rhénanie et le Sud de l’Allemagne, catholiques du reste de l’Allemagne protestante, prussienne et hanovrienne … Ce qui intéressait l’Angleterre, c’était la reprise, à SON profit EXCLUSIF, de relations économiques avec l’Allemagne … lors que la France était paupérisée du fait de la destruction systématique de son industrie charbonnière et sidérurgique … On reconnaît le classique EGOÏSME anglo-saxon !!!
Depuis 1992, il MANQUE un essai de même valeur, de même lucidité, de même prescience que l’ouvrage de Jacques Bainville, DENONCANT les “Conséquences de la Réunification de l’Allemagne” !!! L’Allemagne a été à ce point SI PEU CHÂTIEE (lors qu’elle porte devant l’Histoire l’IMMENSE RESPONSABILITE de la guerre la plus MONSTRUEUSE qui ait été … jusqu’à ce jour, du moins) que dès sa réunification actée (grâce à l’IMPARDONNABLE acquiescement de Gorbatchev qui, NAÏF jusqu’à la DERAISON, AURAIT DÛ EXIGER du format “4 + 2” un traité en bonne et due forme !), elle s’empressait de régler de vieux comptes (ceux de 14-18 et de 1941-45) en reconnaissant UNILATERALEMENT et en VIOLATION des “règles” européennes “l’indépendance” de la Slovénie et de la Croatie de manière à … “faire payer” très cher la Serbie son héroïque résistance durant la Seconde guerre mondiale … Par le fait même, ses “partenaires” européens, la France de Mitterrand en tête, étaient obligées de faire pareil … “solidarité européenne” OBLIGE !!! En outre, et là aussi de par la FAIBLESSE de la France, elle IMPOSAIT en l’euro, un “clone” de son Deustche mark” … ce qui lui donnait la SUPREMATIE économIque et financière sur l’Europe en voie de formation … Il faut dire qu’elle a eu la CHANCE d’avoir à sa tête en Helmut Kohl, un homme d’Etat EXCEPTIONNEL … Depuis, il y a eu Angela Merkel qui a pu se RIRE des MINABLES Présidents français Sarkozy, Hollande et Macron, laquelle Merkel porte devant l’Histoire (avec Hollande et, à sa suite, Macron), une autre IMMENSE RESPONSABILITE : le SABOATGE EHONTE des accords de Minsk 1 et 2 …
On peut distinguer en l’œuvre du général de Gaulle, le DERNIER (et très probablement ULTIME GRAND Français !) UNE ERREUR IMPARDONNABLE : non seulement avoir accordé son “absolution” à l’Allemagne mais aussi sa Confiance … Le traité de l’Elysée, (22 janvier 1963) signé par lui et Adenauer a été, du jour au lendemain, dénué de sa substance par l’ajout d’un “Préambule” par la Volonté du Bundestag (15 juin 1963) … “Ce serait blesser bien grièvement une grande espérance” (celle d’écarter les Etats-Unis et les Anglo Saxons de la construction d’une Europe EUROPENNE … une Europe des NATIONS) aura-t-il pu déplorer en Conférence de presse … On ignore qu’il a également commenté (à huis clos) comme suit l’attitude allemande :
« Les Américains essaient de vider notre traité de son contenu. Ils veulent en faire une coquille vide. Tout ça, pourquoi ? Parce que les politiciens allemands ont peur de ne pas s’aplatir suffisamment devant les Anglo-Saxons !
Ils se conduisent comme des cochons ! Ils mériteraient que nous dénoncions le traité et que nous fassions un renversement d’alliance en nous entendant avec les Russes ! »
Combien il convient de REGRETTER qu’il ne l’ait pas fait … Du moins, en réponse, il se rendra en voyage officiel en URSS en juin 1966 … à la grande IRE des Etats-Unis et, sans doute, à l’inquiétude des BOCHES … Depuis lors … PLUS JAMAIS la France n’aura le front de s’OPPOSER directement à l’Allemagne et Macron portera un Coup peut-être MORTEL en signant avec Merkel le traité d’Aix-la-Chapelle de coopération et d’intégration franco-allemande du 22 janvier 2019 … sans que l’Assemblée Nationale n’ait le COURAGE de rendre à l’Allemagne … un “chien de sa chienne” !!! De cette illusion et de ce GRAVE ECHEC de De Gaulle, son héritier direct, François Asselineau a tiré l’analyse, les conséquences et les conclusions suivantes :
https://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?q=trait%c3%a9+de+l%27elys%c3%a9e+1963&mid=760820637E9BBA846C12760820637E9BBA846C12&FORM=VIRE
corrections sur mon message précédent : déclenchement et matamoresque , of course
Le point de vue de Joffre c’est la politique menée par la France depuis au moins l’époque de Richelieu. Il consiste à diviser l’Allemagne pour régner dans la plus parfaite iniquité et le plus parfait mépris des droits du peuple allemand. Et vu le rôle joué par la France dans le déclanchement de la guerre notamment par des hommes comme Clémenceau et Delcassé il est hautement condamnable au regard d’une vraie justice, sur le modèle de la justice romaine.
Quant aux revanchards, une logique un peu mafieuse à mes yeux, il auraient du savoir que c’est la France de Napoléon III qui a déclaré la guerre à Bismarck dans un élan matamauresque.
La dépêche d’Elm a bon dos.
Ajoutons que c’est encore Raymond Poincaré qui en occupant la Saar pour obliger ”le boche à payer ” a déclenché la dévaluation du mark, la ruine de la classe moyenne et son adhésion au nazisme.
Guillaume 1er est à l’origine des régimes de retraite et de protection sociale (1883 et 1886) . Il a dit ”nous avons de bien mauvais voisins”
je pense qu’il avait raison.
Défendre son pays est un devoir.
Nuire aux autres peuples est une ignominie.
“Là vivaient des masses qui n’avaient pas la moindre notion du sens de la patria, la plus vague idée de responsabilité envers une communauté partagée par tous et nettement délimitée. C’était le problème de la «ceinture de population mêlées», de la Baltique à l’Adriatique. Le nationalisme tribal naquit de ce climat de déracinement.”
‘L’Impérialisme’, Hannah Arendt
.
Le glands remplacement a définitivement résolu le problème du “holisme autoritaire des blancs” (formule d’Adorno), plus de nation, que des gangs multi-niqués sur le continent de pUtE
.
Ce qui avait été vu comme solution contre l’état fort social et national par l’oligarchie libérale aux conférences de Macy, où par la “french theory” (et comme arme du Capital par Marx):
.
https://www.youtube.com/watch?v=Dbbh9aymEx4&t=271s
https://dailymotion.com/video/xdvnx8
.
« En Allemagne, il y aura en 2100 environ 35 millions de Turcs et à peu près 20 millions d’Allemands »
Thilo Sarrazin, ‘L’Allemagne disparaît’
.
«Il faut favoriser une culture du dissensus œuvrant à l’approfondissement des positions particulières et une ressingularisation des individus et des groupes humains [tribus multi-niquées, multi-genrées, diviser pour régner]»
Felix Guattari et Cohn Le Tripoté, revue du PSU
.
Très bien de plus avoir de peuple solidaire en face de lui pour l’Argent Nowhere, mais faut alors embaucher des mercenaires contre un ennemi extérieur; souchien de l’Archipel de Fourquet ne meurt pas pour piscine des burkinis, sa caste traître, et “hijab is freedom” de pUtE, ni barbu dealer pour ex-France coloniale des kouffar.
Le problème est d’abord que Foch a signé l’armistice trop tôt et a empêché l’armée française de pénétrer victorieuse et combattant en Allemagne, en n’enclenchant pas à temps l’offensive de Lorraine que devait mener Castelnau.
Ainsi les Allemands n’ont pas senti la défaite sur leur territoire, ont pu se déclarer invaincus et penser à la revanche.
Le traité de Versailles ne pouvait rien y changer.
cf : https://www.editionsartilleur.fr/produit/1918-le-piege-de-larmistice/
lire “Le mauvais traité” d Charles Maurras et “Les conséquences politiques de la paix” de Jacques Bainville
J’ai écrit en 2019 un mémo sur la manière dont la guerre 14-18 a été arrêtée. Il est paru le 11 Nov dernier sur le site de Place d’armes. Ce topo le complète…
De conneries en conneries depuis 1918 on en arrive allègrement à Macron. Un siècle de déchéance moderne depuis le suicide de la révolution.. ma grand-mère le disait, ” la France est morte en 14-18.”