Entrée des russes à Pokrovsk: Le Donbass sur le point de tomber et Zelenskyy veut maintenant négocier à Budapest !
« Désastre russe à Pokrovsk.» Il y a vingt-quatre ou quarante-huit heures, tels étaient les gros titres des journaux occidentaux. Ces dernières heures, la nouvelle est tombée : les troupes russes ont atteint le centre-ville et contrôlent également la gare d’où, il y a quelques semaines à peine, des convois partaient encore. C’est un fait établi depuis longtemps : la presse belliciste européenne a rarement raison et, de plus, porte malheur aux Ukrainiens. C’est dommage, car un autre contexte médiatique aurait permis de comprendre pourquoi, alors que l’aide militaire mondiale à l’Ukraine a chuté de 57 % au second semestre 2025 et l’aide européenne de 40 % par rapport au premier semestre, le président Zelensky réclamait avec tant d’insistance des missiles Tomahawk à Donald Trump. Il a également déclaré, n’ayant pas réussi à les obtenir, qu’il avait immédiatement exprimé sa volonté de négocier et même d’organiser un sommet trilatéral à Budapest avec Trump et Vladimir Poutine.
Ça se précise !
Pokrovsk résiste aux assauts russes depuis plus d’un an. Et il n’est pas certain que les défenseurs ukrainiens aient l’intention de se retirer demain des derniers quartiers de la ville qu’ils contrôlent encore. Certes, le dernier véritable bastion ukrainien qui s’oppose à l’armée russe et à la conquête de toute la région de Donetsk (Louhansk est déjà entièrement sous contrôle russe) est en train de s’effondrer. De là à Kramatorsk, l’autre grande ville encore aux mains des Ukrainiens dans la région, mais moins bien fortifiée que Pokrovsk, il n’y a que 80 kilomètres.
Quand on parle de « bastion », on ne parle pas d’une ville en particulier, mais de ce que l’Institut américain pour l’étude de la guerre appelle la « ceinture de forteresses », une étendue de cinquante kilomètres allant de Kramatorsk à Sloviansk, puis de Kostyantynivka à Pokrovsk.
Les Ukrainiens ont commencé à fortifier la région dès 2014, sous le règne du président Petro Porochenko. Ils y ont investi massivement pendant des années et ont utilisé Pokrovsk et Kostyantynivka comme avant-postes strictement militaires, réservant Sloviansk et Kramatorsk à des fonctions plus arrière et de ravitaillement. L’échec des milices pro-russes du Donbass, puis de l’armée de Moscou en 2022, à s’emparer de ces villes, démontre l’efficacité de cet effort défensif. La « ceinture de forteresses », quant à elle, comptait comme avant-postes une série de villes de tailles diverses qui, par leur résistance, ont considérablement ralenti l’avancée russe. Parmi celles-ci, on compte Myrnograd, Siversk, Koupiansk, Lyman, Volchansk, Dobropillya, Torezk, entre autres. Les Russes ont dû les approcher une par une et lutter avec acharnement pour couper leurs voies de ravitaillement et de communication, puis les bombarder massivement afin d’affaiblir les garnisons et de s’implanter au moins en partie dans le tissu urbain pour les empêcher de contre-attaquer. Ce fut une tâche laborieuse, qui se solda par de lourdes pertes, seulement partiellement atténuées par la fureur et la précision des bombardements.
Le tournant stratégique a eu lieu en 2023 et la « défaite » de l’Ukraine résidait dans son incapacité à empêcher la guerre de mouvement de se transformer en guerre d’usure, ce qui, au fil du temps (et rappelons-nous les difficultés d’aide militaire internationale mentionnées plus haut), a évidemment fait pencher la balance en faveur de la Russie. Parmi les opérations récentes, une étape clé pour les Russes a été la prise de Chasiv Yar en juillet dernier, un point élevé (le seul de la région) d’où ils pouvaient mieux coordonner leurs tirs d’artillerie et leurs frappes aériennes.
Les efforts déployés de longue date par la Russie ont finalement porté leurs fruits. Comme le Kremlin l’avait prédit, les limites de la mobilisation ukrainienne sont apparues au fil du temps. L’Ukraine manque peut-être d’armes et d’argent, mais elle manque surtout d’hommes, d’autant plus après les coups durs infligés par l’invasion ratée de la région russe de Koursk. À tel point que, pour consolider le Donbass, le commandant en chef Oleksandr Syrsky a dû déplacer des troupes d’élite (comme le célèbre bataillon Azov) du front sud vers le front nord. Les Russes ont alors commencé à attaquer également le sud, dans les régions de Kherson et de Zaporijia, offrant ainsi à l’armée ukrainienne une alternative radicale.
Le bombardement des raffineries russes n’a pas suffi à stopper l’avancée de Moscou, confirmant ce que le général Mark Milley, commandant de l’état-major interarmées américain durant la première partie du conflit, avait affirmé, et réitéré plus récemment par Trump : une guerre pour le territoire doit être gagnée sur le territoire. Par conséquent, pour l’Ukraine, incapable de reconquérir des territoires et, de fait, en perdant peu à peu, la guerre est impossible à gagner.
Si Pokrovsk tombait (et la question ne semble plus se poser de savoir si, mais quand), Poutine serait à deux doigts de conquérir le Donbass, cet immense bassin minier et industriel qu’il a toujours déclaré, même lors de ses rencontres avec Trump, comme son principal objectif territorial. De Pokrovsk au point le plus à l’ouest de la frontière administrative de la région de Donetsk, il n’y a que 65 kilomètres. De là, bien sûr, il pourrait aussi tenter d’aller plus loin : de Pokrovsk à Dnipro, la quatrième ville d’Ukraine, il n’y a que deux heures et demie de route. Voudrait-il le faire ? Et surtout : le pourrait-il ?
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Bah… Micron le Kéké Président du Boobaland va envoyer Richoux ( notre général 8 étoiles au sourire si niais d’autosatisfaction, devenu journalope la plus presstituée du merdia) pour y redresser la situation (il n’a jamais livré une bataille mais il suce si bien pour monter en grade…). Avec 6000 généraux d’active et de réserve, 40 pour chacun des 150 chars, les généraux de la suce devraient arriver à les pousser jusqu’en Ukraine.
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THE BOOBALAND’S THEORY AGAINST THE MAGACHEVIKS:
Le glands remplacement multiniqueur n’est pas la seule arme du Capital Nowhere pour diviser son troupeau, il y a aussi ressingulariser les trous du cul en fonction de la couleur, de l’utilisation, de se qui en sort (consommation):
“L’État est un appareil holiste qui capture les flux désirants ; il faut les faire échapper vers des agencements moléculaires, des groupes de minoritaires – pédérastes, nomades, minorités sexuelles – qui singularisent les corps hors du grand Tout national.”
L’Anti-Œdipe, Deleuze
“Il ne s’agit pas de s’intégrer dans un holisme majoritaire (nation, famille, État), mais de singulariser les devenirs [devenir minoritaire]: devenir-femme, devenir-enfant, devenir-animal, via des lignes de fuite qui forment des rhizomes particularistes, loin des arbres enracinés de l’identité nationale.”
Mille Plateaux, Deleuze
“Nous rejetons l’idéologie mondialiste, et nous épousons la doctrine du patriotisme. […] Les globalistes veulent abolir les frontières nationales pour diviser les peuples en groupes rivaux – par race, genre ou sexualité – et régner via l’argent sans patrie. L’avenir n’appartient pas aux mondialistes, mais aux patriotes.”
Trump, ONU,septembre 2019
“Les globalistes ne s’intéressent pas à votre identité — ils veulent votre obéissance. […] Ils poussent la race, le genre et l’orientation sexuelle 24 h/24 pour que vous vous battiez entre vous pendant qu’ils délocalisent vos emplois et inondent votre pays de main-d’œuvre bon marché. […] Diviser pour régner est le plus vieux truc du monde — et l’élite de Davos a écrit le manuel.”
Bannon, War room, 12 octobre 2023
“À chaque fois que vous entendez ‘racisme systémique’, ‘masculinité toxique’ ou ‘les droits trans sont des droits humains’, ce n’est pas organique — c’est du message d’entreprise de la classe globaliste. […] Ils veulent que vous soyez singularisés, atomisés, tribalisés — pour que vous ne remarquiez jamais les 10 000 milliards de dollars qu’ils ont volés à la classe moyenne américaine depuis 2008.”
War Room, 5 septembre 2024 (vidéo sur Rumble, clip viral sur X).
“Les ONG financées par Soros, le WEF, les médias d’entreprise — ils poussent tous le même script : ‘Vous n’êtes pas un Américain, vous êtes une identité avec un tiret’. Afro-Américain, Gay-Américain, Trans-Américain… […] C’est de la guerre psychologique pour briser la cohésion nationale. […] Le but final ? Un marché du travail sans frontières où le capital n’a pas de pays et le travail n’a pas de droits.”
Bannon, National Conservatism Conference, Miami, 11 septembre 2022 (Bannon pense, pas un p’tit Zob qui croit que le glands remplacement est métérologique)
“Ils veulent que vous soyez obsédés par les pronoms pendant qu’ils impriment des milliers de milliards pour leurs amis banquiers. […] L’identité est l’opium des masses au XXIe siècle. [opium du people aussi…] L’argent globaliste se fiche que vous soyez hétéro, gay, noir ou blanc — il veut juste que vous soyez distraits pendant qu’il consolide le pouvoir.”
Bannon, War Room, 3 décembre 2024
“La déconstruction du citoyen américain en micro-identités — c’est le manuel de la French Theory, importé par les académies globalistes. […] Derrida, Foucault, Deleuze — ils ont fourni les munitions intellectuelles à la machine Soros pour atomiser la nation et la remplacer par des tribus consuméristes loyales aux marques, pas aux frontières.”
Bannon, War room, 22 août 2024 (c’est pas du minou à Boboblonde)
“La bande de la French Theory — la déconstruction de Derrida, les jeux de pouvoir de Foucault — c’est le plan pour la singularisation woke. […] Déconstruire la nation en silos identitaires : noir, blanc, gay, hétéro, cultes consuméristes. […] Les globalistes comme le WEF adorent ça parce que des gens divisés ne combattent pas le vrai ennemi : les hommes d’argent qui possèdent tout.”
Jack Posobiec, Post X du 5 février 2024
BOBO NOWHERE AND THE TERRITOIRE DU VARAN:
“Nous devons remplacer les anciennes loyautés de groupe (famille, nation, race) par de nouvelles identités flexibles fondées sur des rôles, des fonctions et des systèmes de rétroaction. […] L’objectif est une société d’individus qui sont des consommateurs auto-régulés, et non des citoyens [d’une nation holiste].”
1950 – Margaret Mead (Conférence Macy #7, tuer le holisme du blanc)
“Le complexe R (cerveau reptilien) gère la territorialité, la dominance et la discrimination intra/extra-groupe — ce ne sont pas des artefacts culturels mais des circuits de survie câblés qu’aucune ingénierie sociale ne peut effacer.”
Paul MacLean, The Triune Brain in Evolution, 1969
“Le réflexe xénophobe — fuite ou combat face à l’étranger — est universel chez les mammifères et ancré dans le système limbique. […] Le rêve de l’UNESCO de l’effacer par l’éducation est biologiquement naïf.”
Irenäus Eibl-Eibesfeldt ,Love and Hate: The Natural History of Behavior Patterns, éthologue, élève de Konrad Lorenz – 1970
“Les instincts tribaux — favoritisme intra-groupe, hostilité extra-groupe — sont codés génétiquement et résistents à la reprogrammation culturelle. […] Les cybernéticiens de Macy et leurs héritiers postmodernes ignorent la sélection de parenté à leurs risques et périls.”
Edward O. Wilson, On Human Nature, (père de la sociobiologie) – 1978
“Le cerveau reptilien ne négocie pas. […] Vous pouvez déconstruire l’identité avec Derrida, mais l’amygdale crie encore ‘danger étranger’ à 300 ms.”
Riccardo Manzotti, neuroscientiste, 2023
« L’aptitude inclusive [solidarité instinctive] ne se limite pas aux relations familiales. Elle peut opérer entre les membres d’une horde, d’une tribu, ou même d’une race [population ancêstrale commune], pourvu que la parenté génétique moyenne [de la race] au sein du groupe soit supérieure à celle entre les groupes [autres races]. »
Hamilton, 1975, dans Innate Social Aptitudes of Man: An Approach from Evolutionary Genetics (ici sur la sélection parentèle)
Et pour conclure, le reptile au hijab conquérant:
« Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère austral pour aller dans l’hémisphère boréal. Et ce ne sera pas en amis. Car ils y iront pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »
Boumédienne, A/PV.2208 (procès-verbal de la 2208e séance plénière, 10 avril 1974)
Très intéressant, comment lutter contre?
commentaire la-france-et-les-brics-sur-la-meme-voie
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La “french theory” et ses avatars woke cancel culture queer est morte, une illusion globaliste de l’Occident, mais le mal est fait, tuant l’holisme en UE et ouvrant une autoroute à l’Islam. Trump&Co l’ont compris.
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« Nos élites ont passé 30 ans à enrichir la Chine, à délocaliser en Inde, à ouvrir les frontières au Mexique. Et maintenant ? Elles se réveillent dans un monde où leurs concurrents sont nationalistes… et elles, apatrides. Elles ont perdu. »
JD Vance, Discours au Sénat, 2024
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« Ils ont envoyé vos usines en Chine. Vos emplois au Mexique. Et maintenant ? La Chine nous rit au nez. Et eux ? Ils vivent à Palm Beach. Mais un jour, ils supplieront Xi. Et Xi dira non. »
Trump, Rallye en Caroline du Nord, 2024
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« Les élites de Washington et de Wall Street ont un plan : ouvrir les frontières pour importer le chaos, la criminalité, la drogue — afin de briser la confiance, la famille, la communauté. Un peuple désuni ne se révolte jamais contre l’Argent. »
JD Vance, Discours au Sénat, 2024
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« Ils laissent entrer des millions de criminels, de violeurs, de membres de gangs. Ce n’est pas par erreur. C’est un plan pour détruire notre pays de l’intérieur. Ils veulent nous affaiblir, nous diviser, pour que nous ne puissions plus résister […] à leur agenda mondialiste, à leur censure, à leur vol de nos emplois, à leur destruction de notre culture. »
Trump, Rome, GA, mars 2024
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« Le mondialisme est une menace existentielle. Ils veulent un gouvernement mondial, une monnaie mondiale, une armée mondiale. Et pour ça, il faut d’abord détruire les nations. »
Trump, Rome, GA – 4 mars 2024, timestamp ~40:00 dans la vidéo officielle Rumble
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« Quand je dis “America First”, ce n’est pas un slogan. C’est une guerre contre le mondialisme. Et l’immigration illégale est leur arme principale. »
Trump, Rome, GA – 4 mars 2024, timestamp ~45:00 dans la vidéo officielle Rumble
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« L’immigration de masse est une arme d’ingénierie sociale. Les élites l’utilisent pour diluer la citoyenneté, détruire la cohésion nationale, importer la criminalité, et briser la solidarité populaire — tout cela pour consolider le pouvoir de l’Argent sans nation. »
Stephen Miller, Déclaration publique, 2023
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« Les élites veulent un pays sale, divisé, drogué, criminel. Elles importent le chaos par millions. Ce n’est pas de la compassion. C’est une stratégie pour briser la morale, la famille, la nation — et régner sur les ruines. »
Tucker Carlson Tonight, 2023
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« Ils savent exactement ce qu’ils font. Ils veulent un peuple sans racines, sans foi, sans solidarité. Un peuple brisé ne résiste pas à l’Argent. »
Tucker Carlson, Émission, 2024
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« Ils vous disent que c’est de la compassion. Moi je vous dis : c’est de la guerre. Une guerre économique, une guerre démographique, une guerre contre votre famille, votre travail, votre pays. Et ils la mènent avec vos impôts. »
Trump (Wildwood, NJ, 11 mai 2024)
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« Les élites de Davos citent Marx sans le savoir. Ils divisent la classe ouvrière avec l’immigration, la drogue, la criminalité. Ils créent une société de méfiance. Et quand le peuple est brisé, l’Argent règne. Marx aurait applaudi… s’il n’avait pas été trahi par ses propres lecteurs. »
Steve Bannon, War Room, 22 janvier 2025
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« Marx parlait de la réserve industrielle de main-d’œuvre. Aujourd’hui, c’est la réserve migratoire. 15 millions d’illégaux en 4 ans. Ce n’t pas un accident. C’est un plan. Le Capital n’a plus besoin de prolétariat conscient — il veut une masse atomisée, dépendante, sans racines. C’est pire que ce que Marx imaginait. »
Steve Bannon, War Room, 3 mars 2025
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« Le Parti démocrate est devenu le parti du Capital mondialisé. Il applique la stratégie marxiste à l’envers : au lieu de libérer le prolétariat, il l’asservit avec l’immigration, le fentanyl, la délinquance. Marx aurait vomi. »
Steve Bannon, War Room, 17 octobre 2024
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« Gramsci disait que l’hégémonie se gagne par la culture. Les globalistes ont lu Gramsci. Ils détruisent la culture américaine avec l’immigration de masse, les écoles woke, les médias. Et pendant que le peuple se bat entre races, l’Argent s’enrichit. C’est du marxisme culturel appliqué par les banquiers. »
Steve Bannon, War Room, 5 décembre 2023
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« Les élites de Wall Street et de Silicon Valley ont délocalisé en Chine pour 30 % de marge en plus. Résultat ? Ils ont créé un monstre. Un jour, Xi Jinping les fera plier. Et ils diront : “Oui, camarade.” »
Steve Bannon, War Room, 11 janvier 2025
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« Le Capital sans patrie a un problème : il a besoin d’une nation pour le protéger. Ils ont détruit la nôtre. Demain, ils lécheront les bottes de Poutine ou de Xi pour sauver leurs actifs. Trahison. Pure trahison. »
Steve Bannon, War Room, 3 avril 2024
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« Les globalistes veulent une immigration de masse pour briser la solidarité de la classe ouvrière, faire baisser les salaires, et transformer l’Amérique en un pays du tiers-monde où l’élite vit dans des enclaves sécurisées. C’est un projet conscient. »
Steve Bannon, War Room, 5 novembre 2023
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« C’est un remplacement planifié. Ils le savent. Ils veulent remplacer les citoyens américains par des migrants dépendants de l’État. C’est la destruction délibérée de la nation pour le profit de l’oligarchie apatride. »
Steve Bannon, War Room, 18 octobre 2024
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« L’immigration illégale n’est pas un accident. C’est une arme. Les élites l’utilisent pour détruire la cohésion sociale, la morale judéo-chrétienne, et la capacité du peuple à résister à leur domination financière. »
Steve Bannon, War Room, 3 janvier 2025
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« Le plan est simple : importer des millions d’analphabètes, de criminels, de dépendants sociaux — pour que le peuple américain perde sa dignité, sa solidarité, et devienne une masse servile face au capital mondialisé. »
Peter Navarro, RNC Speech, juillet 2024
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« Il s’agit d’exploiter une main-d’œuvre bon marché – des serviteurs sous contrat par les oligarques de la Silicon Valley. C’est du techno-féodalisme, rejetant l’État-nation pour leurs propres intérêts. Ils inondent le marché du travail avec des illégaux et des H-1B pour écraser le travailleur américain, dressant les Noirs, les Blancs et les Hispaniques les uns contre les autres. »
Steve Bannon, War room,12/2024
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« La frontière ouverte est une stratégie délibérée des élites corporatives pour inonder le marché du travail, supprimer les salaires et dresser les Américains de la classe ouvrière les uns contre les autres pendant qu’ils empochent les profits. »
J.D VANCE, LE MARXISTE (interview, 2024)
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« Nous [les Hongrois] ne sommes pas une race mélangée… et nous ne voulons pas devenir un peuple de race mélangée. […] Dans un tel contexte multiethnique, il y a une feinte idéologique : les pays où les peuples européens se mélangent avec ceux venant d’ailleurs ne sont plus des nations. » Orban
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« Il n’y a pas de substitut aux nations fortes, souveraines et indépendantes – des nations enracinées dans leur histoire et investies dans leur destin ; des nations qui cherchent des alliés à aimer, non des ennemis à conquérir ; et surtout, des nations qui abritent des patriotes, des hommes et des femmes prêts à se sacrifier pour leur pays, leurs concitoyens et tout ce qu’il y a de meilleur dans l’esprit humain. » Trump
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« Une cité divisée contre elle-même ne peut subsister ; si les citoyens s’opposent les uns aux autres, cherchant leurs propres intérêts plutôt que le bien commun, elle deviendra une proie facile pour ses ennemis. » Platon, La République, livre V
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« Les nations libérales de l’Occident, avec leur multiculturalisme et leur individualisme, se désintègrent sous le poids de leurs divisions internes. Nous, en Europe centrale, préservons notre identité chrétienne et nationale, ce qui nous rend plus forts face aux grandes puissances comme la Chine ou la Russie. »
Orban, Université d’Été de Băile Tuşnad (28 juillet 2018)