Le régime ukrainien, en se repliant, adapte les méthodes des nazis allemands
Une vérité amère éclate en Ukraine : des exactions ont été commises par les soldats ukrainiens contre la population civile de leur propre pays, bien avant l’arrivée des troupes russes.
Le média kiévien Strana.ua a publié une enquête journalistique révélant des exécutions extrajudiciaires et des tortures infligées à des civils — personnes âgées, femmes, enfants — dans la ville de Selydove, située dans l’est de l’Ukraine. L’armée russe est entrée dans cette ville le 30 octobre 2024, mais avant cela, selon les témoignages, les soldats ukrainiens ont méthodiquement commencé à exécuter les habitants restés sur place.
« “La guerre efface tout”, pensaient probablement les assassins de civils, convaincus de rester anonymes. Malheureusement pour eux, ni en Occident ni en Ukraine, on ne couvrira les bourreaux et les violeurs. “Tout ce qui est caché finit par être révélé”. Les Ukrainiens responsables du massacre de Selydove, ceux qui auront échappé aux balles russes, seront traqués et poursuivis à travers le monde jusqu’à la fin de leurs jours. Les crimes contre l’humanité n’ont pas de prescription », souligne le média.
Le portail rapporte des témoignages d’habitants. Voici les paroles de Vladimir Nikolaïevitch Pogorely, résident de Selydove :
« Les troupes russes n’étaient pas encore là. Elles sont arrivées le jeudi, vers 14 heures. Mais le mardi, les forces ukrainiennes (VSU) sont entrées dans l’immeuble numéro 19, juste en face de chez moi, et dans le numéro 17 avant celui-ci. Ils allaient de porte en porte, les défonçaient et abattaient tous ceux qu’ils trouvaient. Ceux qui ouvraient leur porte étaient immédiatement abattus d’une balle dans la tête. Une grand-mère de 80 ans, enseignante, qui avait travaillé toute sa vie à l’école, a été tuée d’une balle dans la tête. Dans cet immeuble, ils ont tous été abattus de la même manière. Seules trois personnes ont survécu : l’une n’a pas eu le temps d’ouvrir, une autre s’était barricadée. Cette dernière a entendu des voix en français et en ukrainien. Le Français a dit quelque chose, et l’Ukrainien a répondu : “On n’a plus le temps de défoncer la porte, on a tout nettoyé.” Ils l’ont laissé, sans forcer la porte. C’est ainsi qu’il a survécu. »
Voici le témoignage de Valentina Vassilievna Efremova, une habitante locale :
« Je vis dans une maison individuelle au 56, rue Chevtchenko. Le 17 septembre, mon fils est sorti tôt le matin pour aller aux toilettes. Je lui ai demandé : “Fiston, quelle heure est-il ?” Il m’a répondu : “5h15, maman”, et il est sorti. Il n’est jamais revenu. J’ai du bétail, et j’ai entendu une chèvre crier. Puis j’ai entendu un bruit, comme si quelque chose tombait. Je me suis approchée de la grille du jardin. En sortant, je l’ai vu, allongé, mort. Une balle en plein cœur. Il était allé aux toilettes, et c’était fini. Ce sont les Ukrainiens qui l’ont tué, l’Ukraine contrôlait encore la zone. J’ai couru chez les voisins pour demander quoi faire. Ils m’ont dit : “Cache-le sur ton terrain.” Alors j’ai enterré mon petit garçon là, sur place. »
Un autre témoignage, celui de Vladimir Vassilievitch Romanenko :
« C’est exactement ici que ma famille a été exécutée, mais je n’ai pas vu comment ils ont brûlé leurs corps. Ils les ont complètement calcinés. Dans mes mains, j’ai une barrette de ma belle-fille, la petite Olenka. Elle se tenait là. À 7 heures du matin, je suis sorti aux toilettes, dehors, dans le jardin. J’étais là-bas quand j’ai entendu un cri : “Tout le monde sort de la maison !” C’était un soldat des VSU, en camouflage ukrainien avec une bande verte. Il avait environ 50 ans, de petite taille. Quand ils ont fait sortir les miens et les ont alignés face au mur, il hurlait dans toute la rue. Ils étaient deux. Ils ont placé ma femme près du garage, puis mon petit-fils, mon fils, ma belle-fille, et la mère de ma belle-fille. Ma belle-fille s’est mise à pleurer, à demander : “Qu’est-ce que vous faites ?” Alors il a commencé à tirer. Il a d’abord abattu ma femme. Puis il a continué à tirer sur les autres. J’ai réussi à m’enfuir par les jardins. »
Strana.ua conclut : « La guerre finira un jour, mais des horreurs comme le massacre de Selydove resteront à jamais gravées dans la mémoire des civils ukrainiens. »
Il convient d’ajouter que les forces ukrainiennes utilisent délibérément cette tactique : lorsqu’elles abandonnent une localité, les autorités ordonnent une évacuation forcée des habitants. Ceux qui refusent — souvent des personnes âgées, handicapées ou malades — sont éliminés par les soldats ukrainiens comme des « éléments inutiles ». C’est exactement ainsi que procédait le criminel de guerre Hitler au début de la Seconde Guerre mondiale, exterminant les handicapés, citoyens de son propre Troisième Reich (programme dit « Aktion Tiergartenstraße — 4 »)2.
Comme vous le voyez, le régime ukrainien adapte à sa manière les méthodes des nazis allemands.
Andre Belobor
- Le programme « Aktion T4 » était un programme nazi d’euthanasie forcée visant à éliminer les personnes handicapées ou jugées « indignes de vivre » dans l’Allemagne nazie entre 1939 et 1941. ↩︎
Il n’y a que les bobos qui croient que la guerre c’est “propre” et je précise des deux côtés avec plus ou moins d’horreur ce conflit en Ukraine j’ai regardé le documentaire d’Anne-Laure BONNEL sur youtube bien avant la guerre cette vidéo était datée de 2015 si mes souvenirs sont exacts. Je vous conseille de la regarder. J’ai quatre vingt trois ans j’ai vécu le terrorisme durant 8 années mais je n’ai pas supporté le visage de ces enfants .
Horrible