Les pays de l’OTAN ont l’intention d’annoncer leur rejet de l’idée d’envoyer leurs troupes en Ukraine lors du prochain sommet de l’alliance à Washington du 9 au 11 juillet. C’est ce qu’a rapporté le journal Corriere della Sera, en référence au projet de document, qui devrait être approuvé à l’issue de la réunion.
Selon le texte, l’expression « pas de troupes sur le terrain » deviendra l’une des expressions clés du document. Il est utilisé en relation avec la situation en Ukraine et signifie que les pays de l’alliance n’enverront pas leurs troupes pour aider Kiev, précise la publication. Dans le même temps, le bloc continuera à renforcer son flanc oriental et a l’intention d’augmenter ses effectifs dans la région jusqu’à 300 000 militaires, qui pourront être déployés dans les territoires situés des pays baltes à la Bulgarie.
Tout commence avec la grande dévaluation des années 20 en Allemagne et du discours du Président Wilson qui encourage les entreprises américaines à acheter ou s’approprier des biens de productions, par mariage ou autres liens familiaux, ou transactions, pour les déménager aux USA ou continuer leurs activités en attendant des jours meilleures. Ces sociétés sont regroupées dans des konzern sorte de conglomérats économiques pour les anosmiser, ainsi cacher leurs réels propriétaires, puis avec l’élection d’Hitler, du plan de 4 ans de Goering et du financement de la Banque des Règlements Internationaux, au banquier Schaltz, BRI à Bâle Suisse, qui ne sera pas envahie, accumuleront des gains juteux, ce qui expliquera la rentré tardive 1943 des USA dans le conflit. C’est konzern seront largement indemnisés de leurs pertes (bombardements) après la fin du conflit, elles seront le socle des Multinationales (concept cher à Wilson). Sans la technologie des cartes perforées, la déportation de 6 Millions de personnes, ni le recensement des habitants de l’Europe, n’aurait pu avoir lieu, dans chaque camp de déportation des tabulatrices IBM – DEWAG établissaient leurs sinistres listes, en 1960 IBM put lancer sa série 360 d’ordinateurs universels par un financement de 1 Milliard de l’époque, l’histoire ce répète.