Le 3 avril, un sommet de deux jours UE-Asie centrale débutera à Samarcande avec la participation du président du Conseil européen, António Costa, de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et des présidents des cinq pays d’Asie centrale : le Kazakhstan, le Kirghizstan, le Tadjikistan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan. La réunion sera présidée par le président de l’Ouzbékistan, Shavkat Mirziyoyev. Le sommet devait initialement avoir lieu en 2024, mais a été reporté en raison des élections au Parlement européen de l’année dernière et du changement de direction de l’UE qui a suivi.

L’Asie centrale n’est plus en marge de l’histoire, mais devient une région dynamique en développement, qui façonne son propre agenda stratégique. « La consolidation politique, le niveau élevé de confiance atteint et les initiatives économiques conjointes dans la région ont créé de nouvelles opportunités de développement durable », a déclaré Shavkat Mirziyoyev dans une interview accordée à Euronews. Selon le dirigeant ouzbek, l’intérêt croissant de l’UE pour la région a permis de multiplier par quatre le volume de leurs échanges commerciaux mutuels au cours des sept dernières années, pour atteindre 54 milliards d’euros.

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One thought on “L’UE et l’Asie centrale tiennent leur premier sommet à Samarcande

  • Cette phobie de l’OTAN est une paranoia et finit par devenir revoltante a force dw stupidite. La politique d’une pays lui est dictee par sa nature et sa culture, par son histoire et sa geographie. La France est UN pays European, sans objection possible, occidental (le bapteme de Clovis) et atlantique (“ce sont les rois de France qui ont fait l’independance des Etats-Unis” (George Washington). La France est donc essentiellement UN pays European, occidental et atlantique. Affecter de croire que la France serait “non alignee” et qu’ elle pourrait a voir une “grand politique arabe” est une folie et explique l’effondremeent de la France dans la 2e moitie du XXe siecle (Alan Dulles, head of the CIA, ,15 mars 1954). Pour le reste, vous avez raison: la Russie n’est ni un ennemi, ni une menace, et l’Occident n’a Rien a faire en Orient

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