L’effondrement des prix du pétrole en fin de semaine a une fois de plus soulevé la question des perspectives du budget russe, dans lequel la dépendance au pétrole et au gaz diminue, mais les principaux calculs sont toujours basés sur le pétrole. Maintenant, pour équilibrer tout cela, nous devons trouver un nouveau rapport confortable entre le prix du baril et le taux de change du rouble. De plus, en mars, les revenus pétroliers et gaziers du Trésor avaient déjà chuté de plus de 17 % sur un an, et le prix du pétrole Urals en roubles était environ 25 % inférieur aux références incluses dans les calculs du gouvernement.
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