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Le sommet de Kazan a réconcilié la Chine et l’Inde sur leur litige frontalier

L’Inde et la Chine achèvent le retrait de leurs troupes de deux zones frontalières de l’est du Ladakh à la suite du conflit armé de 2020. Cette étape a été précédée par la première rencontre depuis cinq ans entre le président chinois Xi Jinping et le Premier ministre indien Narendra Modi, en marge du sommet des BRICS à Kazan, au cours de laquelle ils ont convenu de maintenir la paix à la frontière. À l’issue de la réunion, Xi Jinping a déclaré que l’Inde et la Chine ne devraient plus constituer une menace l’une pour l’autre. À son tour, Narendra Modi a qualifié les relations avec la Chine de « facteur important de la paix et de la stabilité régionales et mondiales ». Dans le contexte du réchauffement des relations indo-chinoises, obtenu grâce à la médiation de Moscou, elle n’aura pas à faire de choix difficile entre deux partenaires stratégiques clés.

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One thought on “Le sommet de Kazan a réconcilié la Chine et l’Inde sur leur litige frontalier

  • La prétendue démocratie à l’occidentale se résume finalement, comme on l’a vu tout au long de ces dernières années, au droit de revendiquer mais pas celui d’obtenir satisfaction ainsi qu’à de soi-disant débats parlementaires qui ne reflètent qu’une course au pouvoir pour des intérêts personnels ou claniques. Dans ces “démocraties” l’argent et des médias contrôlés par quelques oligarques décident quels partis ou personnes dirigeront le pay. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les occidentaux veulent à tout prix exporter et imposer ce modèle à tous les pays, il permet de les contrôler en injectant dans leur campagnes électorales argent, informations orientées et agents à leur solde. Les systèmes politiques Russe et chinois sont par structure fortement axés sur le bien être des citoyens et l’intérêt de la Nation, ce qui leur permet de se passer de cette forme de démocratie dévoyée, et la Russie et la Chine sont à l’abri de telles influences réservées aux “démocraties payantes”.
    Au contraire, l’Inde comme le Brésil ou l’Afrique du Sud, restent fragiles de ce point de vue. Leur résistance actuelle aux pressions de l’Occident pour les intégrer à son camp face à la Russie et à la Chine est dû plus au nationalisme (dans le bon sens) de leurs leaders et à leur adresse et perspicacité politique qu’à leur système. Il est donc important de créer avec ces pays des liens francs et pacifiques qui obligeront leurs futurs dirigeants à rester dans cet idéal souverainiste.

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