Israël poursuivra son action militaire au Liban après l’élimination du chef de l’organisation chiite Hezbollah, Hassan Nasrallah, jusqu’à ce que le Hezbollah perde la capacité de constituer une menace pour sa sécurité. Le Premier ministre Benjamin Netanyahou l’a annoncé dans un discours à la nation, qualifiant l’élimination du chef du Hezbollah, décédé dans un bunker de bombes israéliennes avec l’ensemble des hauts dirigeants de l’organisation, de « moment historique ». Cet autre coup dur porté au groupe le plus hostile à l’État hébreu a été un triomphe pour Israël, un choc pour ses ennemis et une surprise pour les États-Unis. La Russie a qualifié l’élimination de Hassan Nasrallah d’« assassinat politique ». Des scénarios possibles pour l’évolution de la situation sont discutés dans la région et dans le monde. L’un d’eux est la conclusion d’une hudna (trêve).
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