Pendant qu’ils le calomnient, veulent le ruiner, tentent de l’emprisonner ou essaient de l’abattre, le cauchemar des démocrates continue. Toujours debout, Trump brandit au ciel sa détermination d’acier dans un gant de titane, dans son interprétation moderne de la prise d’Iwo Jima. Il incarne maintenant le patriotisme, depuis longtemps dilué par une économie moribonde, quelques salves de vaccins et des contes transsexuels. La panique bien palpable des globalistes, servis par les Démocrates aux États-Unis, culminera en novembre 2024 lorsque l’Homme Orange sera déclaré grand gagnant de ce qui deviendra possiblement l’élection américaine la plus importante de l’Histoire. Parce qu’elle pourrait venir en aide à Vladimir Poutine dans sa croisade pour mettre fin à l’idéologie globaliste qui pourrit la vie de tous les peuples depuis plus de deux siècles.

Pour qui n’est pas citoyen américain, difficile de comprendre comment la chute de la crédibilité des médias est abrupte depuis une dizaine d’années, au siège social de l’hégémonie mondiale. Exactement depuis que Trump s’est mis à répéter «fake news» quotidiennement en 2015, qualifiant de menteur éhonté chacun des journalistes croisant sa route.  Les citoyens américains ont fini par comprendre ce que peu d’Européens comprennent encore à ce jour, soit que les médias mainstreams sont dans le business de créer une réalité parallèle, une mission très éloignée de l’information. En gros, 4 américains sur 10 ne croient plus rien des médias et seulement 3 ont encore un gramme de foi, laissant les 3 autres dans l’agnosticisme médiatique[1]. Ainsi, la majorité s’intéresse désormais à la réalité, au-delà du sophisme officiel. Les globalistes ont complètement perdu leur capacité à laver le cerveau du quidam du midwest, comme celui de la côte maritime. Preuves à l’appui : malgré un boycott média et une censure de la très conservatrice chanson «Rich Men North of Richmond» d’un péquenaud des montagnes en colère contre le système, elle est devenue un méga hit, n°1 sur Itunes. Après avoir tenté de vendre leur idéologie LGBTQ-plus-plus à travers des pubs inclusives bien-pensantes, Budweiser a encaissé des pertes massives et la courbe des ventes ne remonte pas. Depuis son congédiement de Fox News, le blog de Tucker Carlson est plus populaire que tout CNN ou NBC. Non seulement la propagande édulcorée du CFR n’intéresse plus que les derniers covidiots masqués, mais ses ressacs sont violents.

Maintenant, constatez l’état socio-économique des USA laissé dans le sillage du vieillard sénile intubé au hryvnias de Burisma, pour comprendre comment sa combinaison explosive avec la perte de la foi médiatique se compare avantageusement au mélange du nitrate et de la glycérine. Les faillites post-covidiennes s’empilent, l’immigration noie la culture, les jeunes fuient l’armée jadis fleuron patriotique de l’oncle Sam et le climat économique général oscille entre les atmosphères de 1929 et de 2008. Le peuple américain est las des restrictions, des transgenres, de la morosité, des virus, de l’immigration, de l’inflation, des taux d’intérêt, des pseudos changements climatiques, des guerres et des mensonges, soit les apanages d’un régime démocrate. Il est déconnecté des parasites politiques de Washington, dont le rôle principal consiste à canaliser les impôts de la classe moyenne vers les poches sans fond de la ploutocratie méta-démocratique du gouvernement dans l’ombre.

Dans cette mer houleuse prise dans un ouragan croissant, Trump est une bouée. Il n’a démarré aucune guerre, a retiré des troupes de Syrie et d’Afghanistan, puis a empêché l’OTAN d’attaquer la Corée du Nord et le Venezuela. Personne ne sait ce qu’il sera capable de faire, mais au moins, plusieurs comprennent qu’il veut changer ce pays jadis si puissant, si enviable. Sortir son pays de la putréfaction de l’hégémonie et amorcer une vraie patrie.

Trump ne peut absolument pas perdre; l’élection sera un tsunami. N’accordez aucune attention aux sondages, conçus pour préparer psychologiquement au vol des élections en démontrant le seuil limite de la tricherie. Et dans un contexte où cette tricherie sera scrutée à la loupe, et devant l’ampleur que l’opération devrait prendre, elle devient impossible. Ils devraient invalider quelques 20 millions de bulletins de vote pour faire contrepoids au dépit des Américains pour le mondialisme démocrate. Que le fier papa de Hunter soit remplacé par Chlamydia Harris, Hystérie Clinton ou Michael Obama, qui sont trois faces de la même pièce pourrie, ne changera rien : les Américains veulent massivement rendre les USA aussi grands que jadis, mais dans une orientation nationale, pas comme une arme de destruction massive au service des banquiers. Trump est en colère, et il n’a plus rien à perdre. Peut-être veut-il en finir avec l’OTAN, l’UE, le FMI, la CIA, leurs terroristes et leurs néo-nazis? Une gouvernance par décrets pourrait bien terminer ce que Poutine a commencé, et mettre un point final sur l’ordre mondial du Nouveau-Monde, né en 1944, aux auspices de Bretton-Woods.

Or voilà que dès janvier 2025, le spectacle pourra commencer.

Sylvain Laforest


[1]«Americans’ Trust In Media Remains Near Record Low» (Gallup-2022) Megan Brenan

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STRATPOL

10 thoughts on “Pourquoi Trump va facilement gagner l’élection 2024

  • Personnellement je me méfie de Trump, il sait aussi faire volte face là ou on ne l’attend pas, les intérêts des sociétés de productions d’armes aux E.U. est tellement importante, plus de 220 milliards de dollars de bénéfice en 2023, que si les guerres s’arrêtaient, plus de vente d’arme, ce serait plus de 30% de chômeurs ! alors TRUMP regardera à deux fois avant de faire des paix, il en fera mais ce ne sera pas les mêmes !

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  • Un journaleux qui retourne sa veste sur le même sujet en deux articles, ça s’appelle comment déjà ??

    Non pas un frustré… autre chose…

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    • L’article qui allait dans le sens opposé à celui-ci était de la plume d’Alexis Tarrade. Cet article est écrit par Sylvain Laforest. Et ce site publie des avis divers. Moreau qui en est l’hébergeur s’en est expliqué dans une de ses dernières vidéos. Pour ma part, les arguments mis en avant par Tarrade me semblent pour le moins faiblards. Peut-être que Trump perdra en effet mais pas pour les raisons avancées par Tarrade. Je suis bien davantage convaincu par ce que dit Laforest dans l’article ci-dessus.

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    • Vous auriez pu avoir la présence d’esprit de vérifier le nom du “journaleux”…

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  • je ne vends jamais la peau de l’ours….
    j’aurais dit, pourquoi trump POURRAIT…

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  • Excellent article. On reconnaît ta plume trempée à l’encre de la métaphore.

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  • Et vlan dans les dents…! merci Sylvain pour ce beau billet!

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  • ne pas confondre la tyrannie globaliste avec la république. La tyrannie est l’appropriation de la république, par des intérêts privés ou par des factions politiques. En France, il y a la faction socialo-robespierriste qui s’approprie la république, et en exclut les conservateurs et les libéraux. Mais ce n’est donc plus la république au sens étymologique, juridique et classique du terme. De même pour la démocratie. Ceci pour dire que nous n’avons pas besoin “d’une bonne dictature” mais au contraire d’un retour aux principes libéraux-conservateurs de liberté et d’état-de-droit. Contre la tyrannie. Trump semble justement parvenir à incarner ce libéral-conservatisme républicain. J’espère que nous aurons un mouvement pareil en France. Je prie chaque jour pour que le camp patriote sorte des ornières socialistes qui ne seraient que l’aggravation des erreurs déjà en place. De Gaulle, a sa manière et malgré les limites de l’époque, a su incarner et opérer ce rétablissement des principes, des libertés, des institutions et de la monnaie.

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