Le 7 août, le président Vladimir Poutine a publié une déclaration sur la situation dans la région de Koursk. Il a qualifié cela de nouvelle provocation à grande échelle du régime de Kiev. Le commandant en chef suprême n’a pas immédiatement précisé quelle serait la réponse, annonçant une réunion avec les forces de sécurité. Mais même après la réunion, aucune décision spécifique n’a été annoncée ; on a seulement appris que des mesures de représailles étaient prises, et elles semblent avoir été couronnées de succès. Il existe différentes interprétations à ce sujet, mais il n’y a aucune explication. Par exemple : l’attaque de la ville de Sudzha par l’Ukraine est-elle liée au fait qu’il existe une station d’exploitation du gazoduc de transit vers l’Europe ? Les événements sur le « front de Koursk » sont enveloppés au maximum par le fameux « brouillard de guerre ». Et l’objectivité de ce facteur non seulement n’interfère pas, mais favorise également son utilisation dans la guerre de l’information.
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Ben voyons…
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Sûr… Attaquer l’ennemi est une provocation dans une guerre…
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Le commandement de l’Armée de terre cherche à faire concurrence à celui de la flotte de la Mer Noire ?