Le 16 juin, la visite de trois jours du président algérien Abdelmadjid Tebboune en Russie se terminera par une participation au SPIEF. Le chef de cette république nord-africaine s’est rendu à Moscou pour la première fois depuis 2008 –son prédécesseur Abdelaziz Bouteflika s’était alors rendu à Moscou. Au cours de son voyage, le chef de l’Algérie a rencontré l’ensemble des dirigeants russes – le Premier ministre Mikhaïl Michoustine, la présidente du Conseil de la Fédération Valentina Matvienko et le président de la Douma d’État Vyacheslav Volodine, et s’est entretenu jeudi avec Vladimir Poutine.
« Les relations avec l’Algérie ont une importance particulière pour notre pays et revêtent un caractère stratégique », a déclaré le président russe au début des pourparlers. « Comme vous le savez, l’URSS a apporté un soutien important à ses amis algériens dans la guerre de libération et, dans les premières années de l’indépendance de l’Algérie, elle a contribué à la formation de l’Algérie en tant qu’État indépendant et souverain, à la formation de son économie dans un certain nombre de domaines » (citations des deux dirigeants sur kremlin.ru).
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Il voyait loin, le general de Gaulle, lorsqu’il a installe a Alger une republique amie de l’URSS (devenue “Russie” aujourd’hui).
ll était surtout pressé de s’en débarrasser, mais il a laisé signer n’importe quoi et c’est raté pour nous.