Le général Viktor Afzalov, chef d’état-major des forces aérospatiales, a été nommé commandant en chef par intérim des forces aérospatiales russes à la place de Sergueï Sourovikine, a déclaré à RIA Novosti une source bien informée.
“L’ancien commandant en chef des forces aérospatiales russes Sergueï Sourovikine a été démis de ses fonctions, le colonel-général Viktor Afzalov, chef d’état-major général des forces aérospatiales, agit temporairement en tant que commandant en chef des forces aérospatiales”, a déclaré la source à RIA Novosti.
Afzalov était déjà commandant en chef des forces aérospatiales lorsque Sourovikine commandait le Groupe des forces unies dans la zone de l’opération militaire spéciale.
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Sortir Sourovikine qui avait si bien imposé un front de + de 1000 km à l’ennemi avec si peu d’hommes, à l’heure où la contre offensive touche à sa fin avec succès pour la Russie revient à dire que l’armée de l’air a fait un boulot de merde. Aurait-on raté quelque chose?
C’est comme détruire Wagner juste après qu’ils aient été les seuls à avoir pris une ville puis faire assassiner ses chefs après les avoir poussé à bout.
Il est clair que Poutine délègue à un commander en chef qui n’a rien trouvé de mieux à faire que le vide autour de lui. Si après ça il n’a rien pris dans un mois c’est lui qu’il faudra sortir avec ceux qu’il a mis en place car vu cette dynamique il s’est sans doute entouré de crétins qui ne risque pas de lui faire de l’ombre et n’ont pas intérêt à gagner des batailles s’ils veulent rester en place.
Quand aux troupes elles doivent désormais le voir comme un énorme étron.
Je n’arrive pas à croire que le président Poutine ait eu besoin de faire tuer 10 personnes pour se débarrasser de Prigogine qui n’avait plus, de rôle sur le front ukrainien et qui avait fait soumission.
Rien de tel pour alimenter le Russian bashing.
En revanche quand on a lu tout récemment les articles hystériques des medias occidentaux sur le fait que Prigogine entrainait l’armée biélorusse à 100 kms de Kiev, et sur son rôle en Afrique à un moment où l’Occident en est viré manu militari,
on se pose quelques questions sur l’action des services secrets ukrainiens , polonais, ou otaniens.