2 thoughts on “Colloque du CF2R sur l’idéologie wahhabite – Partie 1”
Erratum : dans la phrase “Les Saoudo-Wahhabites, ILS sont omni-présents…”, j’ai oublié d’effacer le “ils” qui en fait un de ces américanismes que j’ai en horreur. Il faut lire “Les Saoudo-Wahhabites sont omni-présents…”, évidemment !
Exposé limpide et totalement dénué de circonlocutions ampoulées, comme toujours avec M. Conesa. Ce qui explique pourquoi on le voit si peu sur les plateaux de télé “de grand chemin”. On remarquera d’ailleurs, qu’aucun des intervenants (à écouter tous attentivement) ne déroge à la règle, à commencer par l’organisateur, M. Denécé. Ce qui confirme le rôle de ces médias qui est de diffuser une propagande et non d’informer.
S’agissant des Saoudo-Wahhabites, quelque chose n’est jamais dit : ils sont partie prenante de la formidable campagne d’islamophobie qui, sous couvert de lutte contre l’islamisme, sévit en France depuis 2017. Une campagne qui, en réalité, cible les Frères musulmans et le Qatar, ennemis jurés des Wahhabites mais aussi d’Israël, au risque d’installer dans notre pays une guerre civile larvée dont certains rêvent qu’elle se transformera en une guerre civile réelle, c’est-à-dire, une maxi-ratonnade.
Cette campagne associe les Identitaires racialistes, les Chrétiens fondamentalistes fascinés par l’évangélisme américain, les ultra-sionistes français (que les Juifs libéraux appellent “facho-sionistes”) et, donc, les Wahhabites. Une coalition de sectes, en définitive !
Les Saoudo-Wahhabites, ils sont omni-présents via leurs agents beurs et beurettes qui, sur les plateaux de LCI, BFMTV et, surtout, CNews, en font des tonnes sur le danger islamiste en n’oubliant jamais de l’associer aux Frères musulmans et au Qatar. Le Qatar, qu’ils présentent comme le principal parrain des mosquées françaises alors qu’il n’en finance que 25 contre plus de 1 500 à l’Arabie saoudite.
Le phénomène date de 2017, année où MBS, héritier fluctuant du royaume, s’est allié avec Israël. C’est aussi l’année où les Saoudiens ont confié leur “soft-power” en France à la société Publicis. Or, Publicis, c’est Elizabeth Badinter, marraine de la plupart de ces beurettes médiatiques qui, telle Zineb El Rhazoui, se répandent en propos islamophobes et, surtout, sponsor du Printemps républicain présidé depuis cette même année 2017 par Amine El Khatmi par ailleurs protégé de l’agent d’Israël Manuel Valls. Publicis, grâce à quoi cette figure du sionisme français contrôle 40% de l’espace publicitaire des médias français et peut, par conséquent, imposer ou interdire qui elle veut sur les plateaux de télé ou dans les rédactions.
De son côté, Vincent Bolloré, propriétaire de CNews et promoteur d’Éric Zemmour, en contrôle plus de 20% via sa société Havas. Or, lui aussi, et bien qu’il ne parle que de ses racines bretonnes, a des liens plus qu’intimes avec l’ultra-sionisme. En effet, sa grand-mère est une Goldschmidt et, surtout, il doit sa propre fortune à Edmond de Rothschild.
Erratum : dans la phrase “Les Saoudo-Wahhabites, ILS sont omni-présents…”, j’ai oublié d’effacer le “ils” qui en fait un de ces américanismes que j’ai en horreur. Il faut lire “Les Saoudo-Wahhabites sont omni-présents…”, évidemment !
Exposé limpide et totalement dénué de circonlocutions ampoulées, comme toujours avec M. Conesa. Ce qui explique pourquoi on le voit si peu sur les plateaux de télé “de grand chemin”. On remarquera d’ailleurs, qu’aucun des intervenants (à écouter tous attentivement) ne déroge à la règle, à commencer par l’organisateur, M. Denécé. Ce qui confirme le rôle de ces médias qui est de diffuser une propagande et non d’informer.
S’agissant des Saoudo-Wahhabites, quelque chose n’est jamais dit : ils sont partie prenante de la formidable campagne d’islamophobie qui, sous couvert de lutte contre l’islamisme, sévit en France depuis 2017. Une campagne qui, en réalité, cible les Frères musulmans et le Qatar, ennemis jurés des Wahhabites mais aussi d’Israël, au risque d’installer dans notre pays une guerre civile larvée dont certains rêvent qu’elle se transformera en une guerre civile réelle, c’est-à-dire, une maxi-ratonnade.
Cette campagne associe les Identitaires racialistes, les Chrétiens fondamentalistes fascinés par l’évangélisme américain, les ultra-sionistes français (que les Juifs libéraux appellent “facho-sionistes”) et, donc, les Wahhabites. Une coalition de sectes, en définitive !
Les Saoudo-Wahhabites, ils sont omni-présents via leurs agents beurs et beurettes qui, sur les plateaux de LCI, BFMTV et, surtout, CNews, en font des tonnes sur le danger islamiste en n’oubliant jamais de l’associer aux Frères musulmans et au Qatar. Le Qatar, qu’ils présentent comme le principal parrain des mosquées françaises alors qu’il n’en finance que 25 contre plus de 1 500 à l’Arabie saoudite.
Le phénomène date de 2017, année où MBS, héritier fluctuant du royaume, s’est allié avec Israël. C’est aussi l’année où les Saoudiens ont confié leur “soft-power” en France à la société Publicis. Or, Publicis, c’est Elizabeth Badinter, marraine de la plupart de ces beurettes médiatiques qui, telle Zineb El Rhazoui, se répandent en propos islamophobes et, surtout, sponsor du Printemps républicain présidé depuis cette même année 2017 par Amine El Khatmi par ailleurs protégé de l’agent d’Israël Manuel Valls. Publicis, grâce à quoi cette figure du sionisme français contrôle 40% de l’espace publicitaire des médias français et peut, par conséquent, imposer ou interdire qui elle veut sur les plateaux de télé ou dans les rédactions.
De son côté, Vincent Bolloré, propriétaire de CNews et promoteur d’Éric Zemmour, en contrôle plus de 20% via sa société Havas. Or, lui aussi, et bien qu’il ne parle que de ses racines bretonnes, a des liens plus qu’intimes avec l’ultra-sionisme. En effet, sa grand-mère est une Goldschmidt et, surtout, il doit sa propre fortune à Edmond de Rothschild.