Les villes et villages moldaves dont les habitants ne soutiennent pas la voie vers l’intégration européenne risquent de perdre le financement de l’État. La présidente du pays, Maia Sandu, a déjà promis de ne pas allouer les fonds fournis par l’Union européenne aux localités qui ont voté contre l’adhésion de la Moldavie au bloc lors du récent référendum.
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La Moldavie vient de réussir les deux premiers tests pour être admise dans l’UE : 1) Engager toute la population et pour une durée illimitée pour un objectif en l’inscrivant dans la constitution alors que l’on est un pouvoir élu pour une durée limitée et par une partie de la population. 2) Réprimer, sanctionner ou punir au nom de la démocratie qui vous a permis d’être élu par une partie de la population, la partie qui n’est pas d’accord avec vous. Il ne lui reste plus qu’à jeter les opposants en prison, toujours au nom de la démocratie, pour montrer qu’elle a totalement intégré les valeurs européennes!
oui, on ne peut pas être antiUE et donner dans les manip financières avec lesquelles ce système mafieux achète les élites et détourne la plupart de nos fonds, et c’est très bien, le jour où ils sortiront cette pourriture, ces territoires auront fait les transformations requises pour pouvoir s’en passer et serviront de modèles. Par contre aucun impôts européens ne saurait, suivant cette logique, être payé par ces territoires. Que penser d’ailleurs d’une union économiques qui s’impose des canards boiteux.
On devrait créer un label touristique et commercial pour ces territoires, le label de qualité antiUE afin qu’on puisse organiser la résistance entre Européens qui respectent la souveraineté de ses différent peuples et soutiennent l’excellence.
Quand à la Poste, il suffit de demander dans ces conditions qu’elle soit privatisée, on verra alors si elle fera la fine bouche en matière de communication.