Tracteurs face aux blindés de la gendarmerie

Des tracteurs affrontent des véhicules blindés de gendarmerie Berliet VXB-170 ou VBRG (Véhicule Blindé à Roues de la Gendarmerie) sur l'autoroute A1 près de Chennevières-les-Louvres, à proximité de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, au nord-ouest de Paris, le 31 janvier 2024, alors que les agriculteurs français maintiennent des barrages routiers sur les principales autoroutes menant à Paris pour un troisième jour, dans le cadre de manifestations à l'échelle nationale convoquées par plusieurs syndicats d'agriculteurs contre le dumping étranger, les impôts et la réglementation. Des convois de tracteurs se sont rapprochés de Paris, Lyon et d'autres endroits stratégiques en France le 31 janvier, alors que des milliers d'agriculteurs protestataires semblaient ignorer les avertissements d'intervention de la police s'ils franchissaient les lignes rouges fixées par les ministres. Les syndicats d'agriculteurs, peu impressionnés par les concessions proposées par le gouvernement présidentiel, ont encouragé leurs membres à poursuivre leur lutte pour des revenus plus élevés, moins de bureaucratie et une protection contre la concurrence étrangère. (Photo de JULIEN DE ROSA / AFP)

Des tracteurs affrontent des véhicules blindés de gendarmerie Berliet VXB-170 ou VBRG (Véhicule Blindé à Roues de la Gendarmerie) sur l’autoroute A1 près de Chennevières-les-Louvres, à proximité de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, au nord-ouest de Paris, le 31 janvier 2024, alors que les agriculteurs français maintiennent des barrages routiers sur les principales autoroutes menant à Paris pour un troisième jour, dans le cadre de manifestations à l’échelle nationale convoquées par plusieurs syndicats d’agriculteurs contre le dumping étranger, les impôts et la réglementation. Des convois de tracteurs se sont rapprochés de Paris, Lyon et d’autres endroits stratégiques en France le 31 janvier, alors que des milliers d’agriculteurs protestataires semblaient ignorer les avertissements d’intervention de la police s’ils franchissaient les lignes rouges fixées par les ministres. Les syndicats d’agriculteurs, peu impressionnés par les concessions proposées par le gouvernement présidentiel, ont encouragé leurs membres à poursuivre leur lutte pour des revenus plus élevés, moins de bureaucratie et une protection contre la concurrence étrangère. (Photo de JULIEN DE ROSA / AFP)

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