Le 24 avril, l’Agence France-Presse (AFP) a fait état d’une réduction de la présence militaire iranienne en Syrie, provoquée par les frappes israéliennes sur ce pays. Des sources de l’agence proches du groupe libanais pro-iranien Hezbollah affirment que les unités iraniennes ont été retirées des régions du sud de la Syrie, notamment des provinces de Quneitra et de Daraa, bordant le plateau du Golan. L’Observatoire syrien des droits de l’homme, basé à Londres, a également déclaré à l’agence que les forces iraniennes avaient quitté Damas et que leurs bases étaient occupées par des groupes pro-iraniens du Liban et d’Irak.
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