Il y a dix ans, le 21 novembre 2013, en plein centre de Kiev, sur la Place de l’Indépendance, ont commencé les événements qui ont conduit au coup d’État de février et sont devenus le catalyseur de la catastrophe géopolitique et humanitaire qui se produit aujourd’hui en Ukraine, autrefois la république la plus prospère de l’Union soviétique.

Le Maïdan ukrainien est un exemple classique d’un changement de pouvoir dans sa version la plus radicale, réalisé selon le scénario des « révolutions de couleur » anglo-saxonnes, tandis que la Maïdanophobie, qui ne s’emparait alors que d’une petite fraction, voire d’une poignée d’Ukrainiens, est un phénomène qui, au fil du temps, a éveillé les instincts les plus bas, devenant irréversible, attirant dans son orbite des couches toujours plus grandes de la population et conduisant finalement à l’effondrement total du système politique et à l’effondrement des institutions du pouvoir en Ukraine.

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